L'enquête est au point mort mais dans le quartier de la rue des Rosiers on n'oublie pas : - Jacques Henri VARICHON, habitant du quartier et victime du commando de la rue des Rosiers (on lui a tiré dans les jambes), il raconte Arc 9/8/1982, évacuation d'un premier blessé et entrée dans le restaurant GOLDENBERG - Affichette sur la vitrine de chez GOLDENBERG 10 ans après - Interview patron, Jo GOLDENBERG "si j'avais fermé, c'eût été la victoire du terrorisme" - Aujourd'hui policiers en faction devant le restaurant en prévision des 10 ans, clientèle attablée (images montées 2 fois) - Un habitant raconte que les voisins s'étaient organisés après l'attentat et qu'aujourd'hui ce n'est plus le cas - Jo GOLDENBERG explique qu'il a dû se protéger contre les Nazis et qu'il ne fait que continuer - Coupure de presse apposée sur la façade rappelant que l'enquête n'est pas élucidée, plaque rédigée en français, arabe et hébreu à la mémoire des victimes