Les 40e rugissants et le Cap Horn : des lieux inhospitaliers que les marins ont pourtant dû affronter... Georges BLOND raconte la grande épopée des cap-horniers. Il se trouve à Saint-Malo, d’où ont appareillé des milliers de bateaux pour transporter des marchandises vers le Pérou puis les Etats-Unis. Les équipages affrontaient les tempêtes, les vents violents et le froid qui sévissent dans cette région du globe. Malgré des conditions de vie et de travail particulièrement pénibles, les grands cap-horniers doublaient encore le fameux rocher au début du XXe siècle. Certains capitaines emmenaient même leurs épouses à bord. De nos jours, ce sont surtout les skippers qui doublent le Cap, lors des grandes courses autour de monde. Ont-ils moins de mérite que les cap-horniers ? Georges BLOND pose à question à Joe KLIPFELL, membre de l'association des cap-horniers. Olivier STERN-VEYRIN et Marc LINSKI racontent leur expérience du Cap Horn. Pour eux, le Cap mérite sa mauvaise réputation ! Les images de Georges BLOND à Saint-Malo alternent avec des gravures, peintures et photographies de marins, un extrait de film (non identifié) et des images de skippers passant le Cap Horn.