INTERVIEW TELEVISEE DE MONSIEUR ALAIN PEYREFITTE, MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE, PAR LE JOURNALISTE YVES MOUROUSI. ENTRETIEN REALISE A COGNACQ JAY DANS UN STUDIO REPRENANT LE DECOR DU BUREAU DU MINISTRE : GP YVES MOUROUSI. PM CADRANT LE MINISTRE A SON BUREAU ET LE JOURNALISTE DE PROFIL. PA DU MINISTRE. - Monsieur le Ministre, ce calme tout le monde le cherche actuellement et peut être que l'entretien que nous allons avoir ce soir pourrait aider justement à le rétablir ? - " c'est la première fois que le ministre de l'éducation nationale se penche sur le problème de ces violences d'étudiants"!Violences d'étudiants qui ont entraîné Mr le Ministre l'annonce de la fermeture de NANTERRE et de la fermeture de la SORBONNE , violences qui ont provoqué un certain nombres d'arrestations et évidemment surpris. Elles ont dégénéré et ont provoque des déprédations d'un matériel très précieux et même en appel au sabotage et enfin en bagarre...au moment où les étudiants se mettent à jouer a l'émeute les choses deviennent très sérieuses..." Il parle de l'intervention de la police.. - Pourquoi avoir attendu six mois ? - "Les autorités universitaires souhaitaient maintenir le dialogue". Il parle des "scènes qui se passaient a NANTERRE". Il donne trois exemples. - Vous citez des exemples sur Nanterre, or vous avez fermé Nanterre et la Sorbonne ? - A la Sorbonne aussi la situation se développait de manière fâcheuse...le sang a coulé...il fallait marquer un arrêt. - Il y a une tradition séculaire qui veut que la cour de la Sorbonne soit considérée involiable. Pourquoi alors y avoir fait rentrer les forces de l'ordre ? - "Les forces de l'ordre ne sont entrées que parce que les forces du désordre étaient entrées"...Il raconte l'après midi de vendredi a la Sorbonne. "Il y avait eu viol par des étudiants armés. La fermeture de leurs facultés en France est un évènement grave. Ce n'est pas disproportionné par rapport aux évènements". Il rappelle le texte de "suspension des cours". - Vou...