Maurice PAPON ne s’est pas constitué prisonnier, comme la chambre d'accusation de la cour d'appel de Bordeaux l'avait décidé, à la veille de son pourvoi par la cour de cassation.Il s'expose ainsi à une condamnation à dix ans de prison.Ce dernier invoque la République et les Droits de l'homme pour justifier sa fuite.Reportage faisant le point sur cette affaire au travers d'images d'archives et de la une du journal "Sud Ouest" titrant "Papon : pourquoi je ne me livre pas", en alternance avec les interviews de Me Francis VUILLEMIN, avocat de Maurice PAPON, d'Arno KLARSFELD, avocat de la partie civile, et de Michel SLITINSKY, partie civile.