Le temps d’amour est si court, il est à nos troussesDéjà les rayons du soleil nous éclaboussentJ’aime ta peau de satin et tes mains si doucesCe sourire de tendresse sur ta frimousseC'est déjà le matin, il faut prendre le trainComme hier, comme demain, gagner notre painLa journée passera sans drame et sans éclatOn va se fondre dans le grand anonymatRefrain :C'est presque le matin, c'est déjà le matinUn petit café vite fait au bistrot du coinUn pain au chocolat, un coup d'œil au journalAvant de retrouver les cadences infernalesAvant de retrouver les cadences infernalesOn va s’aimer toute la nuit sans se presserOn va laisser passer les heures sans compterOn va décompresser, se couvrir de câlinsAvant de replonger dans l'enfer du train-trainNous voilà partis pour une nuit sans sommeilOn va s'embrasser jusqu'au lever du soleilPour mieux surmonter ces longues heures sans joieDans le jour qui se lève, j'emporte un peu de toiRefrain (2 fois)Les cadences infernales