La situation d’Antoine du Courseau va de mal en pis, sans qu'il semble s'y intéresser. Il faut vendre la Sauveté. La ruine des du Courseau que Marie Thérèse accepte sans faire un geste est en effet définitivement consommée. La Sauveté est rachetée par des voisins, les Longuet dont la fortune a une origine suspecte. La famille s'installe dans une autre maison, construite un peu plus loin. Antoine, Jean et l'abbé Le Couec passent une dernière nuit dans la demeure vidée de ses meubles. Jean tente de savoir de qui il est l'enfant, mais l'abbé le Couec, la seule personne qui pourrait peut-être le renseigner, se tait. Antoine part s'installer définitivement dans le Midi pour vivre auprès de Marie Dévote dont il a eu dix ans plus tôt une fille, Toinette, et de Théo, le mari complaisant. Jean ne peut poursuivre ses études. D'abord embauché par son camarade Joseph Outen dans la librairie qu'il a créée, il devra la quitter, la situation n'étant pas brillante.Les parents Arnaud sont à leur tour expulsés de la Sauveté. Jeanne, frappée d'hémiplégie décède quelques mois plus tard. Pendant ces heures difficiles, Antoinette est aux côtés de Jean.  Celui-ci fait finalement a connaissance de Constantin Palfy, un escroc de haut vol qui lui ouvre un avenir apparemment plus brillant que son emploi de manoeuvre à l'imprimerie du journal local.